Depuis plus de deux siècles, des vantardises socialistes nous ont assourdi les tympans en faisant croire à des solutions-miracle qui pourraient être obtenues par l’extinction de la propriété privée, la lutte des classes, l’abolition de la concurrence, l’opposition au capitalisme et tout un fatras de chimères prônant le socialisme, et qui, au fil des jours, ont montré leur inadaptation, leur fallacieuse impéritie et même leur nocivité. Devant tant de déboires et de fiascos, le socialisme a dû se transformer, se mettre au goût du jour et adopter, pour survivre, d’autres chevaux de bataille, mais sans pour autant reconnaître ses erreurs ou déplorer tant de combats perdus et tant de luttes inutiles. Il en est réduit aujourd’hui à n’avoir à exploiter que le thèmes des inégalités, en faisant croire qu’il sera capable de les résoudre autrement que par des prélèvements obligatoires et un renchérissement de la vie.
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