PAR M. PELIGOT.
(Mémoire lu à l’Académie des Sciences, le 5 février 1849.)
(Extrait des Annales de Chimie et de Physique, 3e série, t. XXIX.)
Les recherches que j’ai l’honneur de soumettre au jugement de l’Académie font partie d’un travail que j’ai entrepris dans le but de déterminer la composition des principales sortes de grains qui sont employés comme aliments. L’origine de ce travail est déjà ancienne : à la suite du déficit dans la récolte des céréales et des pommes de terre pendant les années 1846 et 1847, déficit qui a pesé d’une manière si lourde sur presque toutes les populations européennes, M.
Fruit d’une sélection réalisée au sein des fonds de la Bibliothèque nationale de France, Collection XIX a pour ambition de faire découvrir des textes classiques et moins classiques dans les meilleures éditions du XIXe siècle.
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