Et d’abord, permettez-moi de vous le dire, vous ne connaissez l’été que de nom. Les prétendus étés de Paris, ne vous en ont montré que l’ombre ou la charge.
Dressons en effet leur bilan.
Si la neige leur fait la grâce de ne plus tomber au mois de mai, les giboulées, par contre, les harcèlent jusqu’à la fin de juin. Pour eux, même au cœur de juillet, jamais le froid ni la pluie ne désarment. Les jours caniculaires peuvent aussi bien marquer tempête que beau fixe à l’anéroïde, huit degrés que trente à l’échelle thermométrique.
Fruit d’une sélection réalisée au sein des fonds de la Bibliothèque nationale de France, Collection XIX a pour ambition de faire découvrir des textes classiques et moins classiques dans les meilleures éditions du XIXe siècle.
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